« Piquante et tendrement décalée, Liz Van Deuq tricote un spectacle piano-solo qu’elle mène au doigt et à l’oeil. La chanson s’amuse. Intello fraîche et espiègle, Liz n’y va pas toujours de main morte. Écriture subtile et sensible. »
Visiblement marquée à vie par ses années de conservatoire, tant sur le plan des compositions que sur le plan psychologique, Liz n’en n’oublie pas le verbe. Des mots enchantés et pianofortés de Liz Van Deuq sort une vérité. D’humeur pince sans rire, Liz Van Deuq est une fausse sage. Funk, rock, avec un human beat box au conservatoire et un Brahms folk, avec un piano lead, elle se situe dans un registre personnel, cousine de Juliette, William Sheller ou Véronique Sanson. Avec elle, il fait se croiser l’humour d’un Woody Allen et le réalisme comico-poétique d’une Jeanne Cherhal. Liz s’auto-analyse, raconte ses joies et ses peines, vante les atouts de sa Nièvre natale et se permet des excursions dans les langues de Goethe et Shakespeare.